nouvel an 2012 sous le signe des livres

après les swaps sur le thème de la couture et des chats, je me suis inscrite à un swap livresque, organisé pour la 3eme édition consécutive par Hérisson du blog delivrer-des-livres.

le but du jeu était de trouver :

1 coup de coeur 2011 (de 2011 ou lu en 2011)

1 livre autour du temps (selon les préférences de notre swappé : Science Fiction, Historique…)

calendrier ou un agenda pour 2011

1 idée de bonne résolution (sous forme de carte, carnet, objet, livre… fait main ou non) 

gourmandise

voici le colis que j’ai eu le plaisir de recevoir de ma binôme missbouquinaix 🙂

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le plaisir était doublé 😉 tout d’abord la composition d’un colis en respectant les goûts de ma binôme, puis celui de déballerf ébrilement celui que j’ai reçu, arrivé la veille de Noël ! Ce qui m’attire le plus dans un swap sur le thème des livres, c’est de tomber sur des livres que je n’aurais pas forcément repérés par moi-même chez mon libraire, et qui arrivent pour ainsi dire avec leur lettre de recommandation…

de mon côté, j’avais composé mon colis avec un livre Rêves de Gloire, une uchronie de Roland C Wagner ; la BD It’s a book de Lane Smith ; un calendrier ; un sachet de thé blanc (mon préféré !) ; un col « snood » tricoté au crochet, et à la dernière seconde j’ai ajouté une fournée de petits gâteaux de Noël home-made.

que du plaisir, donc, puisque je suis plongée depuis les vacances dans le Déchronologue !

merci à hérisson pour l’organisation, et à missbouquinaix pour ce chouette cadeau de Noël 😉 

Les liens :

l’organisation par
herisson08

le bilan

l’article de ma binome
missbouquinaix

 

cinq sens

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un nouveau petit jeu lancé par Vir et relayé par French Onion : l’idée est de parler de 5 choses qu’on aime, déclinées sur le thème des 5 sens.

l’exercice est moins facile qu’il n’y paraît, parce qu’à chaque idée que je trouvais, je me disais : mais non, ce truc-là j’aime autant le sentir que le toucher, autant l’écouter que le regarder… alors j’ai mis un peu d’ordre dans tout ça et voilà le résultat !

… j’aime écouter (et toucher) :  la neige
marcher dans la neige fraîche, et l’entendre et la sentir craquer sous mes bottes ; mais j’aime aussi la regarder tomber, je pourrais y passer des heures, le nez collé à la fenêtre
et qu’il y a t’il de meilleur que de ramasser un peu de la première neige pour la goûter, avec la sensation de froid délicieux sur la langue, et cette légère odeur de poussière qui l’accompagne ? la neige parle à tous mes sens 🙂

… j’aime toucher  (et sentir) : la fourrure du chat
pelotonnée sur le canapé avec le chat qui vient se coller près de ma tête, je pose ma main sur sa tête et je plonge mon nez dans sa fourrure bien chaude

… j’aime sentir (et goûter) : la compote de pommes à la cannelle
la bonne odeur de mon enfance et de la compote de pommes de ma Mémé, qui faisait venir l’eau à la bouche, au point que je venais me brûler la langue sur la cuiller pour pouvoir y goûter plus vite !

… j’aime goûter (et toucher) : une pêche
la croquer à pleines dents, entendre la peau qui craque, et savourer le goût exquis de l’été… je préfère la pêche à la nectarine, celle-là est trop lisse, rien ne vaut le velouté de la pêche de vigne !

… j’aime regarder (et écouter) : les graminées sous la brise
m’installer sur une chaise longue, à l’ombre du parasol, et m’emplir les yeux, le nez, les oreilles, de la vue du jardin, de ses
odeurs, de ses sons, quand le vent secoue les feuilles des arbres et les graminées du jardin japonais de mr Fourmi…

et voilà que je rêve, devant l’ordinateur, et qu’il faut bien se rendre à l’évidence : les feuilles sont tombées, il fait trop froid pour s’installer dans une chaise longue dehors, mais pas encore assez pour que tombe la neige, la saison des pêches est terminée, et le chat est en vadrouille dehors.

… en revanche, j’ai un cageot de pommes qui ne demande qu’à être épluché et cuit à la cannelle ! Je vous invite ? 😉

fourmis des bois !

la famille fourmi est invitée à une soirée costumée sur le thème des contes et légendes ! idéalement, il me fallait donc trouver une idée de conte avec une maman enceinte ; j’ai donc décidé de jouer
sur une adaptation (très personnelle) du conte de la femme-cygne.

un cygne se pose chaque jour au bord d’un lac, et pour s’y baigner, enlève sa parure de cygne, sous laquelle se cache en fait une très
belle jeune femme. Un chasseur en l’apercevant en tombe amoureux et subtilise un jour sa parure de plumes afin qu’elle ne puisse plus s’envoler, et qu’elle l’épouse. Selon les versions, ils
vivent heureux et ont des enfants, mais un beau jour elle retrouve sa parure de plumes cachée dans la maison, et elle s’envole pour disparaître à jamais. Les déguisements s’inspirent donc de ce
conte, avec la femme-cygne enceinte, le chasseur, et leur fils.

pour fourmisseau, une petite chemise blanche, un gilet en feutrine vert et le chapeau vert le transformeront en petit lutin des bois ;
le papa sera en blanc et vert selon la même idée (chasseur, homme des bois… on s’adapte !), et la maman en robe blanche à laquelle je dois rajouter des plumes. Normalement, des déguisements pas
trop complexes… quand on commence à temps !

le souci, c’est que maman fourmi est rarement stressée tant qu’on n’est pas au stade « trop tard » ! C’est donc dans l’urgence de la
dernière semaine que j’ai revu mes ambitions à la baisse pour arriver à deux gilets et chapeaux assortis en feutrine verte et deux chemises en coton blanc pour ces messieurs, et ma robe blanche
avec un boa à plumes tout fait et un joli serre-tête blanc avec des plumes aussi. Exit les pantalons en feutrine marron, les guêtres, et la centaine de plumes qui devait parer ma
robe…

le jour J arrive, les costumes sont dans la valise. J’en profite pour oublier le serre-tête à plumes… après coup, je me rappelle bien
m’être dit : je vais pas le ranger avec le boa et les chapeaux, pour ne pas risquer de l’abîmer. C’est sûr qu’en restant dans le carton sur le buffet, il ne risquait pas d’être abîmé !

sur place, séance habillage, le papa  se retrouve un peu surpris avec deux oeillets dans la main. Pourtant, je les avais bien
fixés au marteau ! Le temps de quelques remarques au sujet d’une incompatibilité entre les termes « femme » et « utilisation d ‘un marteau », je comprends que la feutrine n’était pas assez épaisse,
donc quand on tire un peu sur les lacets, les oeillets se détachent. Tant pis !

le résultat n’était cependant pas si catastrophique, papa et fiston sont bien assortis, et j’ai quand même un tout petit peu la fierté
des costumes faits-maison ! Restera à faire mieux la prochaine fois 😉

portrait pas vraiment chinois non plus

J’ai trouvé l’idée sur le blog de Nova qui propose à ses lecteurs de poster à leur tour leurs réponses 😉

http://www.unevieenmusique.net/article-portrait-pas-vraiment-chinois-56242192.html

Une question pertinente: « existe-t-il une seule question pertinente ? »

Une chose insupportable: l’hypocrisie

Une oeuvre: La Glace et la Nuit de Léa Silhol

Un personnage de fiction: 103683eme, la fourmi de Werber

Un mythe: on ne dit pas une mite ?

Un proverbe: à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire

Une phobie: les insectes ayant plus de pattes que moi

Un vice:  je dépense donc je suis 

Un objet inutile: définitivement, le téléphone

Une idée récurrente: un iPhone (avec un i comme inutile ?)

Un cauchemar: les manipulateurs et pervers narcissiques

Un moyen de transport: ma Pluriel

Un bruit corporel: un grand éclat de rire

Un prix nobel de la paix: ma mémé

Un film porno: la reproduction des punaises cavernicoles

Un tyran: mon chat

Un repas de famille: aïe, où ai-je bien pu ranger mon sourire ?

Une habitude:  penser à autre chose

Une polémique: faut-il laisser pleurer les bébés ?

Un investissement: la fourmilière pour nos enfants

Une oeuvre caritative: charité bien ordonnée, etc

Un mensonge: je ne suis pas stressée

Un souvenir: je suis partie à Europa-Park en pantoufles

Un site internet: http://bleudetoiles.typepad.fr/leblog/

swap o cat

 
En rentrant chez moi après toutes ces péripéties pour arriver à faire partir mon swap, j’ai eu la surprise de trouver mon colis-à-moi devant la porte ! J’ai tout abandonné sur place, clés de voiture, manteau, et me suis précipitée pour découvrir son contenu.
Ma swappeuse s’appelle Coralie et elle habite une ville du Sud qui me semble bien avoir de chouettes spécialités pour les gourmandes, car la première surprise est un assortiment de délices sucrés : une sucette, une confiture de figues aux noix artisanale, et un petit bouquet de violettes et mimosa cristallisés !
Graffiti est de la fête aussi, elle est l’heureuse destinataire d’une souris grise, et de gourmandises et bâtonnets pour chat !
Deux paquets plats sont emballés séparément et ont un certain poids, je déballe avec enthousiasme pour trouver deux plaques en ardoise avec une cordelette pour les accrocher au mur ! Voilà qui fera le bonheur de Mr Fourmi qui aime beaucoup les matières nobles et naturelles comme l’ardoise, la pierre, le bois…
Et pour finir, je découvre un ensemble charmant, composé d’une tasse à thé avec couvercle et cuiller et deux tasses assorties avec soucoupes ; je sais déjà que la tasse à thé va finir sur mon bureau au travail, où je bois au moins 3 thés par jour (une sombre histoire d’hiver qui arrive, de fenêtres simple vitrage et de système D pour se réchauffer)
Le tout accompagné d’un gentil petit mot et d’une photo d’un beau chat gris avec sa belle histoire !

Le blog du Swap O Cat

pourquoi j’ai absolument besoin d’un serre-taille

Voici ma contribution au concours « Gagnez un serre-taille » de Caroline Daily 🙂

C’est en 2006 que j’ai commencé à rêver d’un serre-taille. Avec la vie sédentaire, quoique agitée, que je menais, je commençais à m’éloigner inéluctablement de la taille de guêpe de mes 20 ans. Pour être tout à fait honnête, cela ressemblait déjà à une guêpe qui avait fait bombance de miel aux fleurs de montagne, mais moins tout de même que la guêpe bedonnante que j’étais en train de devenir. Je naviguais sur les sites Internet des corsetières et j’emplissais mes yeux émerveillés de tissus
chatoyants et de modèles qui avaient toutes un air comblé que je leur enviais.

A cette époque lointaine, je rechignais encore à acheter sur des boutiques en ligne sans avoir essayé l’article au préalable. C’était l’été, l’horizon professionnel était calme, Chéri en voyage d’affaires, il était temps d’agir, je suis partie du bureau avec une idée fixe en tête : acheter un serre-taille !

Je suis fourbue, mes pieds demandent une reddition immédiate et totale. Ils viennent d’arpenter tous les rayons, toutes les petites boutiques de lingerie, partout le constat est sans appel, il n’y a ni corset ni serre-taille.

Une vendeuse compatissante me propose une sorte de body couleur chair devant lequel je tourne les talons, effrayée et déconfite.

Curieusement, une autre idée agace mon cerveau comme une mouche inopportune qui bourdonnerait désagréablement près de mon oreille. Une histoire de pilule arrêtée et de décompte de jours qui ne tombe pas juste. Je m’arrête dans une pharmacie, je rentre chez moi comme un automate, je sors la boîte d’une main tremblante, je relis trois fois la notice, je fais le test, je compare 15 fois le résultat avec ma notice, je conclus avec une certaine perplexité que ce n’est vraiment pas le moment de porter un corset qui réduirait drastiquement l’espace de vie de mon tout-petit-locataire.

Dans les 9 mois qui ont suivi, j’ai perdu 5kg, j’en ai repris 10, je les ai reperdus peu après. J’ai même acheté un petit pantalon taille 36, je sautillais de joie.

C’était il y a maintenant 2 ans, le temps a passé, une autre routine s’est installée, et avec elle est revenu l’ombre menaçante du 40 et de la mise au placard du petit pantalon taille 36. J’ai eu envie d’apprendre à coudre, j’ai recommencé à consulter internet, je suis re-tombée en admiration devant les créations des corsetières.

J’en ai parlé à Chéri. Sourcils froncés, il m’a demandé si ça ne reviendrai pas moins cher de faire un régime. Je lui ai expliqué patiemment qu’il n’entendait rien à la mode. Il n’a pas eu l’air convaincu. J’ai fait des comparatifs, des tableaux Excel, des diagrammes et des histogrammes. J’en ai conclu que pour avoir une taille de guêpe, le corset ou le serre-taille avait des avantages indéniables. Il ne nécessite pas de grossir pendant 9 mois. Il ne génère pas de frais de nounou. Il ne me réveillera pas toutes les nuits pour un bisou. Il ne me réclamera même jamais de scooter. C’est décidé : je veux un corset !!

PS : seule ombre au tableau, il ne me dira jamais « maman je t’aime », mais mon tout-petit-locataire devrait s’en charger. Et pour cela, c’est important qu’il puisse dessiner sa maman avec une jolie taille de guêpe, non ?

Quelques liens :
Caroline Daily / Le concours /
Les résultats
La Fée Corsetée

c’est nippon (ni mauvais)

Activité : couturière amateur débutante
Votre mission, si vous l’acceptez : préparer un colis sur le thème du Japon

Le Japon ? mais… c’est vachement loin !!
Bon on rassemble ses souvenirs et on se fait aider par Google.
Y a quoi au Japon ?!?
Quand j’étais petite, je faisais des grenouilles en papier. Origami, c’est un terme qui sonne un peu de là-bas. Peut-être une piste ?
Côté art, on trouve des estampes japonaises.
Côté jardin, des cerisiers en fleur (c’est de saison, en plus)
Côté Mondial Tissus, on trouve, euh… rien du tout. Direction Internet pour les tissus. Je multiplie les yens, je divise les frais de port,
j’additionne le délai, je soustrais la douane… j’aurais dû m’y prendre, grosso merdo, 6 mois avant. C’est l’Atelier de Kitty finalement qui me sauve la vie avec ses trois jours de délai de livraison. Enfin, hier (le 20, quand même), mon colis m’attend à la maison !! Première impression : les tissus japonais, c’est beau, j’adore la matière et les motifs. Je vais p’tet aussi faire un
ptit quelque chose pour moi finalement :)))
Bon en attendant je n’ai pas perdu mon temps, j’ai fait le tour de tout ce qui se faisait en tutos faciles, de préférence des accessoires, c’est petit,
ça prend pas trop de tissus, des fois que ça rate, on rate en petites quantités (toujours être prévoyante)

Hier soir enfin, mon choix s’arrête sur la petite pochette express : 45 minutes montre en main, me certifie le blog sur lequel je me trouve. Préparation de la machine, découpage du tissu, on en est déjà à la demi-heure. Il faudrait revoir le minutage…
Résumons : un tissu extérieur (gris avec les personnages), une doublure (le beige avec les pommes), la doublure doit être un peu plus longue (pas encore compris pourquoi mais ça va venir). Problème avec les motifs : si je plie mon tissu en deux, j’ai la moitié des bonshommes qui va être tête en bas. Ni une ni deux, je plie en deux, je coupe, je couds pour avoir une moitié à l’inverse de l’autre.
On commence par le rabat. Nouvelle découverte : comment coudre un bord arrondi ? Tout doucement, à la machine, mais en tournant le volant. Ca doit être possible au pédalier mais ça va un peu vite et j’ai pas trop envie de faire le test sur mon beau tissu japonais.
Ensuite, on plie le tissu extérieur en deux. Seulement un détail très bête, surtout pour une scientifique : soit x la longueur du tissu, on coupe et on
recoud à x/2, on enlève 12cm de rabat, on plie les x-12 restants : curieusement, la couture n’est plus du tout au milieu. (Et ça vous fait rire ??)
Changement de programme. Le beige passe en extérieur, comme ça le gris coupé-cousu sera dedans et on ne remarquera plus la couture mal placée. On coud, on découpe les surplus, on retourne le tissu et le rabat comme une chaussette, on attaque la doublure. Et c’est là qu’on comprend un truc important : la doublure doit dépasser un peu comme ça on
la retourne en haut, deux fois, et on emprisonne les bords non cousus de la doublure et de l’extérieur entre les deux. Voilà pourquoi la doublure devait être plus longue, et voilà pourquoi on se retrouve comme une andouille quand on a échangé exter et doublure à mi-parcours.
Le plus drôle, c’est qu’une fois qu’on a retourné le tissus de la doublure sur le tissu exter en haut, le morceau qui dépasse a des nounours avec la
tête en bas. Je suis totalement déconfite.
Creusage de méninges. Je découds les deux morceaux de gris pour les remettre dans le sens initial mais il me manquera toujours un bout, il est trop court, et ce n’est pas une couture supplémentaire qui va m’arranger. Qu’à cela ne tienne, je vais rajouter un morceau de tissu entre les deux, pour faire le fond. J’ai justement un morceau de jean’s gris qui peut faire le raccord, en jouant intelligemment je peux même arriver à faire passer ça pour une réflexion très aboutie : « t’as vu, j’ai mis exprès un tissu costaud dans le fond du sac pour que ce soit plus solide » On y croit ??? Aucune chance ! Bref je coupe, je re-couds : un gris japonais, un jean’s, l’autre morceau de tissu japonais. On retourne, on coud les côtés, on
découpe les surplus. Si on ne tient pas compte de l’affreuse sur-épaisseur de tissu que ça me génère, ce n’est pas trop mal rattrapé. J’ai bien 6cm de tissu qui dépasse pour le pliage en haut et des nounours dans le bon sens. La victoire est proche !!
Couture. Fatigue ou manque de réflexion, on commence à droite. C’est pas droit. Vite, le découd-vite (il porte bien son nom celui-là). On recommence,
c’est presque droit. On négocie le virage. Vu l’orientation de la poche, la position de la machine, du bras libre, de l’aiguille, la vitesse du vent et l’âge du capitaine, voilà que je me retrouve à devoir coudre toute la partie centrale en marche arrière. Avec une main sur le levier de marche arrière, il ne reste plus qu’une main pour guider. Pas très droit. Avec le nez sur le
levier, on a les deux mains libres mais on ne voit plus rien. Je screugneugneute. Bon ça suffit on découd tout et on reprend, cette fois on commence côté gauche. Ouf, ça marche !
Fin de la première manche, il est bientôt minuit, je me lève à 5h30 le matin, il me reste : le bouton, la bride, la bandoulière. Les 45 minutes ?? je
vais me plaindre pour publicité mensongère !
Il me reste aussi à imprimer les estampes (ce sera du papier, c’est comme du bois, c’est la même base, mais ça passe mieux la Poste), préparer le
paquet. Éventuellement demander un délai supplémentaire (quelques mois, au bas mot) pour faire une autre créa. Ah oui, prévoir quelque chose pour le ptit (on a ceci en commun : un ptit de 2 ans, le hasard fait bien les choses). Pourquoi pas aussi un petit truc sur moi, pour personnaliser l’envoi ? Je peux y arriver !!

Inspirations (et remerciements) :
– pour l’écharpe :
http://julijaswardrobe.blogspot.com/2009/01/une-charpe-japonaise.html
http://aiguillee.net-sauvage.com/index.php?2009/01/12/90-julija-s-scarf
http://japancouture.forum-actif.net/les-modeles-japonais-patrons-divers-f36/recherche-patron-explications-pour-realiser-echarpe-japonaise-t1356.htm
– pour le sac pochette :
http://entrezartistes.canalblog.com/archives/2008/12/02/11599493.html
– pour les tissus :
http://www.atelier-de-kitty.com/Tissu-Japonais-Lin-Beige-Fonce.html
http://www.atelier-de-kitty.com/Tissu-Japonais-Kokka-Beige-Pommes.html
– pour l’organisation du swap, l’aide, les conseils :
http://lesfeestisseuses.xooit.com